Je suis investi dans le cheptel depuis 1990 et je suis satisfait de mon investissement. J’ai opté depuis 2012 pour la distribution du produit (2x par an ) après avoir capitalisé pendant 20 ans. La fiscalité est très douce suite aux amortissements, je n’ai payé pas un seul Euro au fisc. Le seul petit inconvénient : il me faut un comptable pour établir le bilan, mais à partir de l’année prochaine, la société de gestion transmettra directement les résultats à l’administration.

Lucien

Lyon

L’avantage de la location est d’une part dans la souplesse que cela permet : disposer de vaches supplémentaires pour faire une rallonge de quota… D’autre part cela permet de ne pas avoir à rembourser le capital comme ce serait le cas si l’agriculteur emprunte pour acheter le cheptel… cela réduit donc le niveau d’annuités et soulage la trésorerie… Bien pratique pour les jeunes agriculteurs par exemple…

Eric

Lille

Pour ma part j’ais préféré un investissement direct dans une petite ferme bio dans l’élevage caprin et bovin, qui a préféré investir dans un laboratoire de transformation de son lait afin de produire yaourt et fromage. Les produits sont vendus dans les écoles et EMS dans un rayon de moins de 50 Km. Il y a aussi un cochon qui est nourri avec les restes et invendus.

Jenny

Haute-Savoie

J’ai commencé à acheter quelques vaches il y a 4 ans, puis une vingtaine à crédit il y a 2 ans (prêt perso à 2.8% sur 8 ans). L’idée initiale était d’en acheter 2 supplémentaires chaque année, et vu que les taux d’emprunt étaient bas, je me suis dit autant tout acheter d’un coup et bénéficier d’un petit effet de levier. J’ai pu déduire 600 euros de "déficit agricole" de mon revenu l’année dernière, ce qui fut une bonne surprise… Je n’ai pas calculé le rdt annuel du "croît", mais il est effectivement entre 4,3 et 4,8 % + la revalorisation du prix des vaches.

Anna

Bretagne